mercredi 17 février 2010

Apie | Sur Malraux

Praeitą vasarą Michaëlis de Saint-Chéronas ir Yves’as Plasseraud skaitė paskaitas Prancūzų kultūros centro rengtuose vasaros susitikimuose.
M. de Saint-Chéronas pristatė knygą „Andrė Malro ir žydai”. Praeitą vasarą kaip tik prabėgo 50 metų nuo tos dienos, kai Andrė Malro iniciatyva įkurta Prancūzijos kultūros ministerija.

Michaëlis de Saint-Chéronas ir jo brolis su André Malraux susipažino paauglystėje. Jų susižavėjimas virto viso gyvenimo aistra. Broliai išleido ne vieną knygą apie Andrė Malro. Paskutiniaisiais gyvenimo metais jie dažnai lankėsi Malro namuose. Gal tai atsitiktinumas, o gal ne, bet šiandien Michaëlis de Saint-Chéronas dirba Kultūros ministerijoje.
Michaëlis de Saint-Chéronas laiko Malro epochos genijumi. Jis teigia, kad vertėjas japonas, 1974 m. lydėjęs rašytoją paskutinėje kelionėje po Japoniją, manė, kad Malro esąs vienas iš genialių žmonių, kurie, kaip sako japonai, gimsta kartą į tūkstantį metų.
Šiame interviu Michaëlis de Saint-Chéronas atskleidžia Malro kaip angažuotą rašytoją, brėždamas paralelę su kitu angažuotu rašytoju, Romain’u Gary. Interviu pabaigoje Michaël de Saint-Cheron kalba apie Malraux kaip apie humanistą, apie rašytojo atsakomybę žmonijai.


L’été dernier, Michaël de Saint-Chéron et Yves Plasseraud étaient venus donner des conférences dans le cadre des « Rendez-vous d’été » du Centre culturel.
M. de Saint-Chéron avait présenté alors son livre : « André Malraux et les Juifs », présentation qui coïncidait avec les 50 ans du Ministère de la culture français fondé par André Malraux.

C’est à l’adolescence que Michaël de Saint-Chéron et son frère ont fait la connaissance d’André Malraux. Cette passion d’adolescent s’est transformée par la suite en passion de toute une vie, Michaël de Saint-Cheron publiant plusieurs ouvrages consacrés à André Malraux. Hasard ou préméditation, Michaël de Saint-Chéron travaille aujourd’hui au Ministère de la culture.
Pour lui, Malraux était le génie d’une époque, et rapporte que son traducteur japonais, lequel avait accompagné Malraux lors de son dernier voyage au Japon en 1974, disait que la tradition japonaise prétendait qu’il n’y avait des génies que tous les 1000 ans, et que pour lui, Malraux devait être l’un d’eux.
Michaël de Saint-Chéron, dans l’interview ci-dessous nous parle de l'engagement de Malraux, proposant un parallèle avec un autre écrivain engagé : Romain Gary. Il termine l'interview sur le côté humaniste de Malraux, et sur sa responsabilité d'écrivain.





Voyage d'André MALRAUX à ATHENES et discours d'hommage à la Grèce du ministre français de la culture à l'occasion de la première illumination de l'Acropole.


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